Le Fils de l’homme dans le nuage

Le Consolateur


Jésus disait :

Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut.

Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.



Par conséquent, voici le Jugement : Ou vous montez dans le Nuage à la rencontre du Seigneur dans les airs, là où sont aussi les deux témoins (les deux témoignages), ou vous restez en bas, sachant que les chefs de ce bas monde vont ravager celui-ci de toutes les manières possibles jusqu’à le plonger finalement dans un feu qui ne s’éteint pas.



Il n’y a pas d’alternative à ce scénario catastrophe. Son déroulement est inexorable, c’est-à-dire qu’aucune prière ne peut l’infléchir, car il appartient à l’Écriture et que celle-ci doit s’accomplir. Ni aucune action politique, car ceux qui espèrent sauver le monde de l’embrasement généralisé de la troisième guerre mondiale en infléchissant la politique de leurs dirigeants, alors que Dieu a mis au cœur de ces derniers de réaliser son dessein, ceux-là rêvent. À l’inverse, sont réveillés ceux qui ont des yeux pour lire ces lignes et des oreilles pour écouter les nouvelles ; si vous en êtes, alors comprenez que le monde touche à sa fin et qu’il vous faut sortir de cette vallée de larmes par le haut…



Car il est proche le grand jour du Seigneur, il est proche, il vient très vite ! On criera amèrement, au jour du Seigneur, le brave lui-même appellera au secours ! Jour de colère que ce jour-là, jour de détresse et d’angoisse, jour de dévastation et de ruine, jour de ténèbres et d’obscurité, jour de nuages et d’épais brouillards, jour de sonneries de cor et de clameurs contre les villes fortifiées et contre les hautes tours d’angle. Je serrerai de près les hommes et ils marcheront comme des aveugles, parce qu’ils ont péché contre le Seigneur. Leur sang sera répandu comme la poussière, et leurs entrailles comme des ordures. Ni leur argent ni leur or ne pourront les sauver : au jour de la colère du Seigneur et au feu de sa jalousie sera dévorée toute la terre, car il fera une extermination ô combien terrifiante ! de tous les habitants de la terre.



Quelle est votre vie en ce monde, aujourd’hui ? Le cavalier au cheval pâle s’attaque à votre santé, le cavalier au cheval noir s’attaque à vos économies, le cavalier au cheval rouge feu s’attaque à votre sécurité, et le cavalier au cheval blanc (le gendarme du monde) s’attaque à la paix mondiale en fomentant la guerre qui détruira la planète par le feu. Car il arrivera le Jour du Seigneur, comme un voleur. En ce jour, les cieux passeront dans un fracas strident, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre et les œuvres qu’elle contient seront entièrement brûlées.



Pouvez-vous survivre à cette destruction du monde par le feu ? Cela dépend essentiellement de la manière dont vous voyez les choses… Si vous les voyez comme l’école vous a appris à les voir dans ses leçons de choses, vous serez alors jetés dans la fournaise de feu, là où seront les sanglots et les grincements de dents, car l’Écriture dit que vous avez été créés à l’image, à la ressemblance de Dieu, et que par conséquent vous ne pouvez mourir ; vous aurez donc toute l’éternité pour pleurer et grincer des dents si vous ne changez pas votre manière de voir les choses, si vous ne corrigez pas votre vue fausse de la Réalité celle que vous avez apprise à l’école comme on attrape une maladie mortelle !



Tous seront salés par le feu, avait prédit Jésus, mais ceux qui écouteront, comprendront et croiront le Consolateur, l’Esprit de Vérité qu’il avait promis d’envoyer, ceux-ci ne pleureront ni ne grinceront des dents. Il y a deux mille ans, Jésus révélait en effet qu’il ne pouvait pas tout dire, mais que le Consolateur, lui, une fois venu, expliquerait absolument tout :


J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez les porter à présent. Quand il viendra, celui-là, l’Esprit de vérité, il vous guidera vers LA VÉRITÉ TOTALE ; car il ne parlera pas de lui-même, mais dira tout ce qu’il entendra, et il vous annoncera ce qui doit venir. Celui-là me glorifiera, car c’est de ce qui est à moi qu’il prendra, et il vous le rapportera. Tout ce qu’a le Père est à moi ; voilà pourquoi j’ai dit qu’il prendra de ce qui est à moi et vous le rapportera.



Je prierai le Père, disait Jésus, et il vous donnera un autre Consolateur (que moi-même) pour être avec vous à jamais, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit ni ne le connaît. Ce sera alors l’achèvement du mystère de Dieu, tel que Jean, le Visionnaire de l’Apocalypse le rapporte :


L’ange que j’avais vu debout sur la mer et sur la terre leva sa main droite vers le ciel, et il jura par Celui qui vit pour les siècles des siècles, qui a créé le ciel et ce qui s’y trouve, et la terre et ce qui s’y trouve, et la mer et ce qui s’y trouve, qu’il n’y aura plus de temps, mais qu’aux jours où se fera entendre le septième ange, lorsqu’il viendra à sonner de la trompette, alors s’achèvera le mystère de Dieu, comme il en a fait l’annonce à ses serviteurs les prophètes.



Quand la Vérité est totalement connue grâce au Consolateur, qui est le Fils de l’homme dans le Cloud, le mystère de Dieu s’achève et le Croyant est alors consolé de la fin du monde. Je vous le dis, mes amis : Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps et qui après cela ne peuvent rien faire de plus. Je vais vous montrer qui vous devez craindre : craignez Celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la géhenne ; oui, je vous le dis, Celui-là, craignez-le, car c’est dans la géhenne de feu que seront les sanglots et les grincements de dents. Cette dernière n’existe pas encore, mais elle vient bientôt inexorablement…

Il est minuit à l’horloge de l’Apocalypse

Références des citations

(Les citations strictes sont en bleu, les notes et commentaires sont en vert)